vendredi 11 décembre 2015

Moins se juger en faisant mémoire des regards de bienveillance posés dans le passé, par d'autres sur soi-même...

Afin de nous apprendre à moins se juger en s'aimer plus, on peut s'appuyer sur des moments où d'autres ont su poser sur nous ce regard de bienveillance... Ils peuvent être des sources auprès desquelles s'abreuver ! En effet cela nous permet d'avoir un exemple à suivre...

Quand on a eu la chance de rencontrer dans notre histoire d'enfance, d'adolescence ou plus tard, des personnes qui ont posé gratuitement de beaux regards sur nous, nous les avons intériorisés. Et lorsque nous sommes plus fragilisés dans nos vie, nous pouvons en faire mémoire. Lorsque nous nous jugeons sévèrement, dès que nous le réalisons, rappelons-nous que quelqu'un un jour, a su nous faire le cadeau de son regard non jugeant et aimant.

Nous pouvons aussi penser à être ou devenir, notre meilleur(e) ami(e), plutôt que la personne qui soit la plus dure au monde envers nous-mêmes... Se regarder durement fini par nous enfoncer plutôt que nous tirer vers la lumière. 

On sait aujourd'hui, grâce aux neurosciences, comme nous l'explique le Dct Catherine Gueguen dans son livre : "Pour une enfance heureuse" qu'une éducation bienveillante, aimante et empathique est décisive pour permettre au cerveau, et donc à l’enfant, d'évoluer de manière optimale et de déployer pleinement ses capacités intellectuelles, affectives et relationnelles. 

Il en est de même pour l'adulte. Être un bon parent pour soi-même, c'est développer notre regard d'empathie et de bienveillance. Nous serons alors plus à même de permettre à nos capacités, nos dons uniques et singuliers, de pouvoir s'exercer et ainsi nous déployer... 

Nous pourrons offrir au monde le meilleur de nous-mêmes... Je vous le souhaite du fond du coeur. Joli et doux week-end mes cher(e)s Ami(e)s cheminant et à lundi !



1 commentaire:

  1. Merci Maguelonne, je vais essayer de trouver ces gens dans mes souvenirs je suis certains qu'il y en a plus que je ne me souviens dans l'instant. Je souffre de paranoïa dû à une enfance compliquée et cette réflexion ne peut me faire que du bien.

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